mercredi 6 novembre 2013

La pluie, meilleur ami du peintre en herbe !

Salut à tous,
Oui c'est la crise. C'est tellement la merde que même le ciel nous tombe sur la tronche, à coup de pluies diluviennes et de vents si violent que j'en perds ma moumoute !
Ainsi, pour contrecarrer ces conditions difficiles et m'épanouir spirituellement, il ne me restait que deux options ... faire des crêpes ou mourir !!

Je décidais donc de sortir mon kit du petit chimiste, pardon, du petit modéliste, pour me trouver une activité qui ne nécessiterais pas de blesser une tierce partie, à savoir moi. Actuellement, je travaille sur plusieurs dossiers.

J'essaie d'avancer ma seconde équipe Orque pour Blood Bowl. Oui la première est prête depuis un moment, mais elle date niveau peinture et j'avais envie de tester de nouvelles couleurs.



Et, d'un autre côté, je continue mon armée de squelettes avec notamment l'achat d'une boîte de guerriers squelettes. Y'a pas à tortiller du cul pour chier droit, j'adooooore peindre des squelettes ... c'est relaxant, ça fait du bien à mon sphincter !


N'étant pas un spécialiste, comme certains confrères de la Team Toulouse, je prends mon temps pour avancer en essayant d'être le plus proche possible de l'idée que j'en ai. A terme, j'aimerais apprendre à travailler les différentes matières de modéliste pour créer moi-même certains éléments tel que des décors et autres objets nécessaire à l'immersion.

lundi 4 novembre 2013

The Boys ou les Super-Héros vu par Garth Ennis

Scénario : Garth Ennis
Dessin : Darick Robertson
Éditeur VO: Wildstorm (DC) puis Dynamite Entertainment
Éditeur VF: Panini Comics

Fort de mon génie (si peu reconnu), j'ai souvent confondu les noms de Warren Ellis et de Garth Ennis ... A ma décharge, ils sont tous les deux britanniques. Enfin, plus précisément, Garth est Irlandais, et pour eux ce n'est pas vraiment pareil.
Pour revenir au sujet, Garth Ennis m'avait marqué sur 2 œuvres, The Preacher et Punisher, 2 œuvres majeures qui lui ont donné ses lettres de noblesses. En démarrant The Boys, j'ai su d'emblée que j'étais en plein dedans et que je n'allais jamais lâcher cet os là !
Côté dessin, Robertson ne sera pas le seul à officier au crayon puisqu'il sera souvent remplacé par des artistes comme Russ Braun (que j'adore) ou John McCrea (qui avait travaillé avec Ennis sur Punisher).
L'histoire avec un grand S
The Boys se déroule dans une univers contemporain, proche du notre.
Les super-héros y sont hyper présent et sont surtout une bonne grosse arnaque commerciale. En effet, les "Supers", comme ils sont appelés, sont issue de la production du composé V (une espèce de sérum de "super-héros") réalisé par une entreprise, la Vought-American Consolidated, qui compte bien sur cet investissement pour s'imposer à l'échelle politique.

Ce serait presque mignon si ça s'arrêtait là, mais c'était sans compter l'esprit, pas si torturé que ça, de notre cher Garth. En effet, les "Supers", non content d'être une source de revenu non négligeable, sont surtout des êtres profondément corrompu et irresponsables qui usent de leurs pouvoirs pour assouvir le moindre fantasmes issus de leurs esprit dégénéré ... C'est assez fort écrit comme ça ? Et bien, je suis encore loin de la réalité !
Au milieu de cette bande de fous furieux, règne les "Sept" et leur chef, le "Protecteur de la Patrie", pastiche clin d’œil à la Ligue de la Justice d'Amérique (JLA pour les anglophones) et ce cher Superman.


Dans cette société gangrenés, nos "Boys", ou "P'tits Gars" en français, sont la goupille de sécurité de cette grenade prête à exploser. Mené par Billy Butcher, un britannique hyper violent dont la femme a été violé par un Super, ils forment, pour le compte de la CIA, une équipe spéciale dont les membres, eux-mêmes dotés de super-pouvoirs par l'absorption du sérum, sont chargés de surveiller les activités des super-héros et, le cas échéant, de les  neutraliser.
C'est au sein de cette équipe que nous allons suivre les aventures d'Huguie, un jeune écossais dont la petite amie a été tuée accidentellement par l'un des "Sept".
Recruté par Billy Butcher pour rejoindre les "P'tits gars"(composé de "La Crème", "Le Français" et "La Fille"), il découvre avec effroi, en même temps que le lecteur, la réalité derrière les activités publiques des super-héros.

L'intégralité de la série sera concentré sur 3 thèmes bien précis :
  • Les complots menés par Vought-American, qui essaie de militariser les Supers et donc de gagner le contrat à la défense.
  • La tension entre les "Boys" et les"Sept" (et notamment entre Butcher et le Protecteur).
  • Et la relation entre Hughie et Stella, une jeune super-héroïne et nouvelle recrue des Sept. Chacun ignorant l'identité et la fonction de l'autre.


Cette série s'est achevé en novembre 2012 et est allé au terme des 72 épisodes qu'avait planifié Ennis. Côté Frenchie, le mois d'octobre 2013 a vu paraitre le dix-neuvième et dernier tome, mettant un point final à cet œuvre que j'ai beaucoup apprécié.
Il est à noter que celle-ci a failli ne jamais se terminer puisque Wildstorm (entité de DC Comics), n'ayant pas tellement apprécié qu'Ennis propose une série fortement anti-super-héros inspiré de l'équipe phare de la maison mère, avait cessé sa publication au bout des 6 premiers numéros (équivalent au tome 1 en France). La publication avait ensuite repris chez Dynamite Entertainment pour aller jusqu'à son terme.


Pour finir, merci à Guillaume, mon gentil dealer (comprendre "libraire"), qui sait si bien me conseiller dans mes futures lectures ;-)

dimanche 3 novembre 2013

DMZ, un comics à la sauce Vertigo

Scénario : Brian Wood
Dessin : B. Wood et Burchielly
Éditeur VO: Vertigo
Éditeur VF: Panini Comics

On connaissait déjà Brian Wood pour son travail d’écrivain, d’illustrateur, de designer graphique pour de nombreux jeux vidéos (GTA , Max Payne, Midnight club, Manhunt), On le retrouve dans DMZ comme scénariste et co-dessinateur. Brian Wood s’est fait connaitre par la série « Démo », puis par « The tourist ». Son dernier bébé, DMZ a recueilli un très grand succès chez le public et la presse. Il s’agit donc ici d’une jolie petite bombe de lecture qui a fait de ce comics mon coup de cœur du moment.

DMZ, pour Zone démilitarisée, un titre qui en dit long !
Nous sommes dans un futur proche, la seconde guerre civile à éclatée aux états unis d’Amérique. Une bonne partie des états ont formé une opposition aux anciens USA et New York est coupée en deux par le conflit. Et au cœur de New York se trouve cette fameuse Zone démilitarisée, zone tampon entre les deux forces, il s’agit de l’ile de Manhattan. La zone est passée de 1,5 millions à 400.000 habitants dès le début du conflit. Une grande partie de la population a fuit la zone pour sauver sa peau, car la zone est fermée, des deux côtés semble-t-il. Un piège à rat dont on ne sort pas, et dans laquelle les médias américains imaginent le pire : sniper dans les boulevards, mines, terroristes, activistes, tueurs, ruines, maladies etc. Cette propagande sur l’état de la zone et sur ses habitants est orchestrée par l’ensemble des médias d’USA.


Matthy, notre Héros est un jeune photographe qui vient de décrocher un stage avec un grand journaliste qui souhaite faire un reportage à l’intérieur de la DMZ. Ils embarquent en Hélico, mais dès leur atterrissage ils font face à la réalité de la zone et Matthy se retrouve rapidement seul en territoire inconnu.
Il rencontrera Zee, une jeune infirmière qui a décidé de rester dans la zone après la fuite de la majorité des habitants et qui va lui faire découvrir peu à peu la réalité de la DMZ.

A lire mes amis !!!


Bienvenue à la maison !

Voilà, devant le génie qui me caractérise, j'ai décidé de lancer un nouveau blog pour parler de mes passions pour les jeux de figurines, les jeux de rôles, les jeux vidéos, les comics, les films, les séries ... bref tout ce qui fait que l'on me qualifie toujours comme un ado mental !

Bienvenue, donc, par ici et n'hésitez pas à laisser une trace de votre passage ... Surtout pour me dire combien je suis génial !